Espérance de vie : Variable
Lieu de vie : Variable, de villes ou villages à des tribus isolées en passant par une autarcie complète.
Fréquence : De commun à très rare

La race des hommes-bêtes recouvre un ensemble très large de sous-espèces : Les hommes-chats, hommes-chiens, femmes-poissons, hommes-coqs, femmse-juments. Il existe de très nombreuses sous-espèces entrant dans cette catégorie, leur donnant ainsi la position de race la plus répandue dans Mundus.

Physiquement, un homme-bête ressemble à un homme disposant d’attributs plus ou moins développés de l’animal auquel il se retrouve lié. Ainsi, un homme bête peut se retrouver avec des nageoires à la place de ses jambes, des oreilles sur sa tête, des ailes dans le dos, des griffes à la place des ongles ou même un corps recouvert de poils !

De plus, un homme-bête pour également être lié à une bête plus rare (que nous pouvons appeler fantaisiste de nos jours). Homme-dragon ou femme-phénix sont des exemples de ces catégories, bien que de tels représentants sont, à l’instar de ces espèces animales, plus rares.

Ainsi, un homme bête se retrouvera bien souvent avantagé par rapport à un humain. Cependant, s’il prend également de potentiels points forts, un homme-bête prend également de potentiels points faibles. Un homme-chat risquera de se trouver tout penaud face à de l’herbe à chat par exemple. Cependant, une faiblesse commune réside dans le fait qu’un homme-bête gardera des instincts bestiaux, amenant parfois une certaine agressivité qui peut rendre difficile une vie en société.

Il est également à noter qu’un homme-bête réussissant à développer un lien assez fort avec son origine pourra  se transformer temporairement en une forme bestiale, nettement plus instinctive et proche de l’animal auquel ils sont liés.

Enfin, les hommes-bêtes sont aussi nommés demi-humains (demi-chat par exemple) ou mi-humains. Néanmoins, il est à noter que ces appellations peuvent être mal perçues, et sont réservées à un usage plus familier (Ces noms laissant entendre que l’homme-bête n’est que la moitié d’un être).